Elon Musk ne donne pas davantage de détails. Mais si ses propos se confirment, on assisterait à l’arrivée beaucoup plus tôt que prévu sur les routes américaines de voitures pouvant se conduire seules, alors même que les régulateurs s’interrogent encore sur les différentes problématiques posées par des véhicules autonomes.
En outre de nombreux imbroglios juridiques et d’assurance n’ont pas encore été réglés.Aux USA General Motors (GM) a de son côté promis de commercialiser les premières voitures autonomes à partir de 2019, après avoir déposé en janvier une requête auprès du ministère américain des Transports (DoT) pour tester une voiture sans volant ni pédales ni contrôle manuel.
Autopilot permet aux voitures Tesla d’effectuer certaines manœuvres toutes seules, comme se garer, freiner ou accélérer.
Ce système d’aide à la conduite fait l’objet d’enquêtes des régulateurs américains après une série d’incidents, dont un ayant fait un mort en Californie en mars. Le régulateur des transports NTSB a ouvert une enquête à laquelle Tesla a décidé de ne plus participer après des échanges particulièrement vifs entre son patron et l’autorité.
Tesla est un constructeur qui ne produit seulement environ 100 000 voitures par an. Mais la renommée de ses voitures électriques et le caractère médiatique de son PDG, qui préside également aux destinées de la société aérospatiale SpaceX, lui font régulièrement faire les gros titres.
Via France Presse